Sur la table des négociations qui oppose depuis plusieurs années l’Égypte, l’Éthiopie et le Soudan. Le Barrage de la Renaissance que construit Addis-Abeba sur le Nil est toujours au cœur de tensions entres ces trois pays.
Après deux jours qui avait pour but d’offrir a toutes les parties le temps d’examinées et de proposées des solutions aux questions techniques et juridiques en suspend, en vue de parvenir selon une feuille de route et un calendrier pour convenir a un règlement complet et définitif de la question.
Le Barrage de la Renaissance dont le projet a été rendu publique le 31 mars 2011 qui a démarré le 28 mai 2013, doit être achevé en 2023, l’Éthiopie affirme que l’énergie hydroélectrique produit sera vitale pour répondre aux besoins de ses 112 millions d’habitants, mais quant a l’Égypte qui dépend a 97% du Nil, le pays craint une crise d’eau une fois ce barrage terminé
Les Divergences autour du grand barrage Ethiopien de la Renaissance ne doivent pas être regarder comme une fatalité mais plutôt comme une chance pour un meilleur rapprochement de nos populations et l’ouverture des nouvelles opportunités de coopérations transfrontalières et régionales a déclaré le président Félix Tshisekedi l’actuel président de l’Union Africaine choisi pour donné des solutions aux problèmes africains
