Nul n’ignore que l’actuel DG de la SOKIMO SA, monsieur Pistis Bonongo Tokole a hérité d’une entreprise dont l’image de marque n’était guerre reluisante.
Aucun pronostic ne lui accordait la possibilité de réaliser des performances susceptibles de remonter la pente et placer en ce jour la SOKIMO SA au rang des entreprises émergentes du portefeuille de l’État et sur lesquelles le trésor public peut s’appuyer pour redorer l’économie du pays.
Mais, grâce à une patience hors du commun, truffée d’une volonté tous azimuts de sortir du lot, Pistis Bonongo Tokole, puisse c’est de lui qu’il s’agit, s’est départi de tous les paris prononcés en sa défaveur, au point d’attirer l’attention de l’opinion publique sur cette entreprise, hier encore, le canard boiteux du ministère des Mines.
Ce succès incontestable n’a pas seulement entrainé les encouragements de ceux qui ont noté cette avancée considerable, mais aussi
l’adversité des démons de malheur. Ceux qui tenaient voir SOKIMO sombrer davantage et disparaître se sont ravises , en peaufinant des stratégies macabres pour mener une guerre sans merci à Pistis Bonongo, le sauveur de SOKIMO.
Pour parvenir à leur visée sordide, ils lui imposent des obstacles de tout acabit et lui jettent des peaux de bananes afin qu’il perde de vue les défis auxquels il doit faire face pour la stabilité de l’entreprise. ”La haine ne produisant qu’un mort-né”, ses détracteurs se lancent dans une course poursuite, perdue d’avance, au point de lui coller le passif désastreux de ses prédécesseurs de 118 mois d’impaiement de salaires, alors que lui n’a que 24 mois de prestation à la tête de la SOKIMO. Fourberie, fourberie quand tu nous tiens, on peut dire adieu à la patience !
Pourtant les efforts qu’il mène pour régulariser la paie lui ont valu un protocole d’accord signé avec l’intersyndicale de la Sokimo destinée à démarrer la paie dès le lundi prochain.
Les réalisations pertinentes de Pistis Bonongo Tokole font de lui incontestablement le meilleur manager de la SOKIMO.
I. Domaine Minier
Obtention de restitution de 10 permis déchus pour faute de payement des droits minier au niveau de Cadastre Minier (CAMI).
II. Production de l’or
Modernisation de l’usine de lixiviation de TARADA par financement propre ;
Modernisation de laboratoire chimique de NIZI par financement propre ;
Acquisition de nouveaux engins miniers par fonds propre dont la dernière fois remonte depuis 2012 ;
La coulée d’un premier lingot d’or par traitement des rejets avec un financement propre tandis que la dernière fois remonte depuis 2018 par les Tanzaniens et 2010 avec les congolais.
III. Partenariat
Amélioration du contrat d’association entre SOKIMO SA ET SOUTERN EGERGY
Obtention de 2.5MW en faveur de SOKIMO SA pour son projet NIZI ;
Arrachement de 5 parts sociales en faveur de la SOKIMO SA soit de 35% à 40% ;
Retrait de 2 centrales hydrauliques de Soleniama I et II.
Garantie de recouvrement de créances de la Sokimo par la Société Commune.
IV. Sociale
Amélioration de conditions salariales, alors que depuis tout ce temps, Sokimo payait à ses agents un maigre salaire qu’on appelait savon soit 1/10 du revenu mensuel.
En 2022 salaires payés 4 sur 12 mois au total ;
En 2023 salaires payés 9 sur 12 mois ;
En 2024 salaires payés 5mois sur 9mois au total.
V. Communication et information
Dotation d’un manuel de l’organisation comptable version OHADA REVISE chose qui n’a jamais existé chez SOKIMO ;
Mis en place d’un logiciel de facturation ;
Dotation de plusieurs équipements informatiques aux agents et cadres de direction ;
VI. Evènements de grande envergure
Organisation d’une retraite de réflexion de 3 jours assortis d’un plan stratégique pour l’entreprise ;
Organisation des élections syndicale pour tout KILO-MOTO ;
Certification par les commissaires aux comptes des états financiers pour 4 exercices ;
Organisation d’une assemblée générale
Toutes ces réalisations accomplies en 24 mois attestent que l’UDPS au sein de laquelle est sortie Pistis Bonongo Tokole regorge des hommes et femmes capables d’imposer la transparence et la bonne gouvernance dans la gestion des affaires de l’État.
Qui dit mieux ???
La rédaction