RDC: Didier M’pambia s’interroge sur certaines réalités liees aux obsèques à Kinshasa

Pourquoi ne connaissons -nous la grandeur des nôtres que lorsqu’il passe de vie à trépas ?


Musiciens , politique , artistes et ecclésiastique ne sont souvent honorés qu’à titre posthume à coup de milliers de dollars .

Les superlatifs sortent dans des discours Parfois insipides sans émotion et émanants mêmes des bouches de ceux qui la veille médisaient sur le défunt .
” Moweyi azalaka n’a munguna te” chante l’artiste la grande faucheuse absout toutes les rancoeurs toutes les inimitiés, tous les péchés, le deuil devient cérémonial, cérémonieux et cérémonie pour les plus illustres entre nous.
Les obsèques se doivent d’être dignes pour les illustres disparu.


Vilipendé ou négliger de son vivant , les croque-morts Officiels preinent le relais .Car l’image de marque du pays est en jeu .
Le monde observe comment nous rendons un dernier hommage à nos icônes.

Les obsèques en République démocratique du Congo

La famille proche ,si elle n’est pas vigilante et téméraire se retrouve totalement en marge de l’organisation des funérailles .


En effet ici, on joue dans une autre ligue avec la présence des têtes couronnées de chefs de corps, des ministres et autres éminences.Grises ou pourpre le respect de l’ordre protocolaire est mise des règles sécuritaires .
La rigueur des horaires une mise en scène et un décorum qui flattent les regards .
L’adieu se transforme en célébration avant que les rideaux ne tombent et que seul le face au vide et l’absence .
Les proches Commencent , efin leur deuil .

La scène quotidienne avec le Directeur Général du Magazine Optimum Didier Mpambia

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