A l’heure où la covid-19 consume le monde, certains hommes de belles-lettres saisissent l’opportunité de nourrir leurs plumes.
C’est le cas de ce Jeune romancier Chrétien Béni Mola qui a dévoilé au cours d’entretien avec le magazine Afrique wide.net que son travail évolue avec quiétude, nonobstant les épreuves de Cette pandémie.
AFRIQUE WIDE: Mr.Mola, comment se passe ton travail durant cette chaîne de vague de la covid-19 en RDC?
BÉNI MOLA : Mon travail d’écrivain évolue très bien, car ce fut au premier confinement que j’ai rédigé mon tout premier livre ”la vision,” et ce dans un espace du temps de quatre (4) mois durant où les affaires courantes ont connu un répit circonstanciel.
En ce moment de confinement devenu partiel, mon job vit son cours d’évolution à la norme positive en ce que ce temps m’apprend bien de leçons que je garde désormais en homo-sapiens (homme sage) et dont les rudiments me serviront de couchés écrits en chair d’érudit.
Parler de mon fonctionnement sera synonyme de vouloir étaler mes points forts au risque de brandir mes points faibles, et donc, stratégiquement je dirai que tout évolue au beau fixe.
AFRIQUE.WIDE.NET: Vous êtes jeune romancier Chrétien qui nourrit son écriture avec certaines situations sociétales, qu’avez retenu de cette pandémie qui théorise le monde ?
BÉNI MOLA: Durant cette épreuve qui a cueilli le monde à froid, j’ai retenu une leçon très importante se résumant dans le tout peut arriver. Eu égard à ce que l’homme est appelé à se préparer, spirituellement à la rencontre de l’époux qui revient bientôt qu’est Christ, lui dont la venue est aussi certaine que l’aurore. Et physiquement pour préparer son avenir, car la préparation est une réserve alimentaire pour nourrir les bouches affamées, une couronne du succès pour ceux qui bossent en secret et une force pour ceux qui n’éprouvent de la disette.
AFRIQUE WIDE.NET: Quels sont vos projets d’avenir ?
BÉNI MOLA: Mes projets d’avenir vous seront révélés au cours de mes émissions dans nos chaînes de télévisions et radios de Kinshasa, car le faire est aussi puissant que le dire.
Un bon écrivain est comme un prophète qui transcende le temps par ses mots qui précèdent les évènements. Il est un soulagement pour sa société, car il dit tout haut de qui se susurre tout bas par ceux qu’on tond comme des moutons à la boucherie.
AFRIQUE WIDE.NET :En tant jeûne écrivain, vous souhaite aussi se retrouver dans ton travail, alors dites-nous comment investir dans la littérature ?
BENI MOLA: Investir en littérature est devenu table rase, surtout en République démocratique du Congo en ce que cette société congolaise au ventre affamé n’a ni goût de remâcher les suavités de belles lettres, ni ses beaux yeux de lecture comme jadis. Je pense que la meilleure façon d’investir en littérature, c’est d’écrire passionnément sans l’idée de remplir ses poches de billets de banque.
Selon jeune romancier congolais romancier Béni Mola, son livre “Vision” poursuivi qu’ un seul but et un grand souci qui turlupine ses pensées.
Le constat est que beaucoup de gens ne se connaissent pas eux-mêmes et meurent sans vivre leur destinée. Le cimetière enterre chaque jour des étoiles qui s’éteignent dans les ténèbres de l’histoire incognito.
Pat BOKETE