Suite à la reprise des attaques des terroristes du M23, appuyés par le Rwanda de Paul Kagame, à l’Est de la République Démocratique du Congo, précisément au Nord-Kivu où plusieurs villages se vident de leurs populations, l’activiste social et politique, Roland Mimi Ngoy, propose quelques pistes des solutions pour remettre la paix dans cette partie du pays.
Alors que l’insécurité continue de battre son plein au Nord-Kivu où plusieurs territoires sont attaqués à l’instar de Rutshuru et Nyiragongo par les M23 et le Rwanda, accusés par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), le futur candidat député provincial aux élections à venir(2023), Roland Mimi Ngoy présente 3 grandes solutions pour que la paix rentre dans la partie Est du Congo notamment :
-Arrêter toute coopération avec le Rwanda sur le plan Culturel, Économique et diplomatique en fermant l’ambassade rwandais en RDC ainsi que le renvoie du diplomate Rwandais accrédité à Kinshasa.
-Renforcer la sécurité dans l’Est en outre, plus d’effectifs des militaires dans les frontières congolaises avec les pays voisins de l’Est tout en renforçant la logistique ainsi que doter les militaires des moyens économiques nécessaires et à leur juste valeur.
-Utiliser tous les médias congolais de manière régulière, pour parler constamment de la situation qui se passe dans l’Est au niveau national qu’international afin que la population congolaise soit mobilisée et prête à défendre le pays.
Comme tout citoyen, le « sénateur » surnommé, Mimi Ngoy, a, à son tour envoyé un message du soutien et encourage les FARDC qui ne cessent de combattre l’ennemi dans la partie Est de la RDC :
“Je soutiens nos FARDC aux fronts, et je les encourage à continuer le combat sans laisser ne fût-ce qu’un centimètre de notre terre aux terroristes du M23 soutenus par le Rwanda de Paul Kagame” a t-il dit.
Par ailleurs, l’espoir de Ngaliema, Roland Mimi, présente ses condoléances aux familles touchées par la disparition de deux enfants, tués au Nord-Kivu, le vendredi dernier, dans une école suite à l’envoie des bombes de l’armée rwandaise sur le sol congolais.
Joël Tokombe
